Sarahband&pourvu qu’ca dure

•novembre 12, 2016 • Laissez un commentaire

Et j’écrirais bien quelque chose, mais voila que les codes HTML m’emmêlent.
Tant pis: Ben voilà. Je voulais chanter, et ca n’a pas été facile.
Après 38 Riv’ et quelques déboires, mais surtout les répétitions accharnées avec Christian, j’ai fini par investir le Grain d’Or, le café du coin.
Après 2 ratés où iln’y avait personne, Nous jouerons le 18 novembre à 20h avec Guillaume Legrand à la contrebasse, Clément Pavis au Drums, et le fidèle Christian à la guitare.
J’espère que vous serez là, et que je ne suis pas trop Mytho…

Sarah

Balans Coaching

•mars 3, 2015 • Laissez un commentaire

C ‘est parti pour le Balans Coaching! Pour ceux qui testent en ce moment c’est reussi, et on obtient ensemble de beau résultats..Donc si vous aviez envie que je me m’occupe perso de votre santé, de vos douleurs et misères, je suis entièrement à votre disposition. C’est à dire j’ètudie votre carcasse comme votre morale et votre environnement afin que l’on trouve comment adapter, gérer votre temps, et l’espace qui vous convient afin de vous occuper de VOUS!

Le mieux c’est qu’on se rencontre et qu’on organise ensemble le programme qui va vous sortir de votre immobilité physique, et vous faire retrouver le besoin de respirer, bouger, manger mieux..etc..

Bref vous connaissez aussi bien que moi vos envies et besoins. Je suis lá pour vous donner des outils et un programme adapté á votre vie quotidienne.

Sarah 0687571841

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Dates de février 2015

•février 2, 2015 • Laissez un commentaire

C’est une bonne surprise. Je croyais qu’on allait se tourner les pouces, mais 2 dates en plus du planning annuel,viennent nous sauver: le 19 et 26 février…pour nos ateliers « Balans ».

Petit atelier que j’anime avec plaisir, en m’occupant de remettre en forme les téméraires de l’hiver. Je malaxe, relaxe, met à l’envers les idées néfastes qui congèlent nos corps et nos cerveaux, réchauffe les coeurs en hibernation. Avec des outils trés simples qu’il faut appeler Yoga, Pilates, Feldenkreis, et autres équilibres structurels…J’aime m’occuper de notre premier capital à tous: notre corps avec qui, il faudra réapprendre à communiquer.

Cela fait un moment que l’idée de faire du coaching sportif me tarraude. Mais en même temps, s’occuper de la bonne santé de quelqu’un c’est pas forcément sportif. Ca dépend à qui on a à faire… alors je cherche un terme approprié…

En tout cas j’espère vous voir bientôt à l’atelier « Balans ». BalansCoaching?

Sarah     0687571841

Automne

•octobre 21, 2014 • Laissez un commentaire

C’est la saison des rhumes…et des articulations qui coincent, de la flème de se lever et l’énergie à la baisse.

MAIS! un corps ne demande qu’à ce qu’on s’occupe de lui, qu’on le bichonne, qu’on y prête attention qu’on lui parle, dans ces moment de transition de saison. Se poser , y réfléchir, accorder ses violons entre ce qu’on voulait faire, ce qu’on doit faire, et ce qu’on peut faire…

Dans un atelier « Balans », qui veut dire « équilibre » en Suèdois, c’est ce qu’on fait doucement, avec précaution, écoute de soi, et dans un espace temps rien qu’à nous.

À trés bientôt donc…

Sarah

« Balans » suite

•octobre 12, 2014 • Laissez un commentaire

Un mot pour dire à quel point il a fallu que je me remette en question…Merci Mireille d’avoir mis un mot d’encouragement, et si je pouvais en faire plus pour les gens, je le ferais bien volontiers.

Mais je me suis retrouvée seule, 2 mardis de suite à l’Akuarium, et je suis aller boire un coups bien penaude..Je comptais rattraper le coups pour payer la location de la salle (30€/h !!!), le jeudi , mais les maladies ont du faire des ravages et j’ai fait un atelier pour Julie, car elle en redemande, la seule qui soit venue.

Bref, du coups, pour ne pas pénaliser Maxime de l’Akuarium, j’ai annulée les réservations de la salle les mardis, à ma grande déception.

Nous retiendrons donc que je fais l’atelier le jeudi à la maison des assos selon leur calendrier. Marie me propose un atelier le vendredi matin chez un particulier à la Villa du Pré, si j’ai bien compris. J’ai imposé un minimum de 4 personnes sûre… j’attend que ca s’organise…pour le communiquer et voir s’il y a assez de place.

Sarah

Balans 1er atelier

•septembre 17, 2014 • Laissez un commentaire

Ok donc voilà enfin cet atelier qui commence… Merci les amis et proches qui m’ont aidé à y croire. Et je dois dire que c’était vraiment bien.

D’une part parceque ce publique là, nous nous en sommes jamais soucier du haut de notre science du corps et du spectacle…et je suis trés heureuse de pouvoir donner un petit goût pour le corps à un publique qui navigue dans un monde bien brut, négligeant les chemins vers la connaissance et les sensations que nous procure notre premier capital…

Mireille et Catherine en sont ressorties toute chose….et j’attend leur commentaires en retour!

à la semaine prochaine

Sarah

 

 

Balans

•septembre 17, 2014 • Laissez un commentaire

Me revoilà aprés une longue absence….retour à la case départ…Reprenons mes dix doigts et réinventons de quoi survivre.

Je n’en reviens pas de ce que je n’ai pas fait et le constat est édifiant (cf: « Patin à glace »):

Patin à glace….

Une comparaison s’impose, puisque mon désarrois me surprend les yeux ecquarquillés, sur une société suèdoise que je connais très mal.

Mais qu’elle soit Suèdoise ou Francaise, elles m’échappent toutes les deux, finalement. Dans un monde où les cultures  finissent par se ressembler et se rassembler autour d’une idéologie de la globalisation, du contrôle et du bon ordre. À savoir duquel il s’agit, j’espère qu’il en va encore de mon choix. Comme si je voulais encore croire que j’ai le choix.

Mis a part tous les Bergmans que je connaissait que trop deja, Je m’empare du cinéma suèdois :

Ce premier film m’avait rempli de bonheur : « Sound of noise » ou, la musique aux dimensions urbaines. Dans la ville de Göteborg , elle  démoli les contours d’une vie qui ne devait pas dépasser les conventions. Un chantier de points de vues aux extensions  altruistes. Un détournement de notre réalite, une transformation du sens et de l’utilités des repères communs, des outils de notre vie. Une ouverture, une brêche où l’on reconsidére les objets, les lieux, de leur fonction première, détournant et élargissant notre vision, au service de la curiosité, de l’expression, et de la créativité.

Ce film m’avait conforté dans mes intuitions, qui étaient d’encenser la pensée nordique et lutherienne dont j’en conserve malgrès tout, l’héritage. Mais qui rejoignait, et pour mon grand bonheur, clairement, toute la force et l’impact qu’avait le spectacle de rue en France sur ma vie professionelle. Un propos militant avait orienté les mouvements de mon corps vers la prise de l’espace urbain de facon obstiné. Et ce film est pour moi une référence. Il reste un garant de survie de l’espèce humaine.

Ma première surprise venait d’être alimenté par « Stockholm stories », où le sombre constat de la décadence certaine du citadin suèdois me laisse encore un goût amer et une peure au ventre qui me cloue sur les chiottes. L’homme est devenu l’ombre de son ombre, aveuglé par le joug de la société contemporaine, mondiale, et fiscale. La fin du  film est teinte d’une note d’espoir dans le même style que « sound of noise » : La dernière solution totalement idéaliste et imaginaire, mais radicale et urgente : couper le courant de la ville. Ainsi retrouverons nous la capacité de sentir , d’éprouver, d’exprimer nos émotions.

Cette conscience des suèdois un peu reveillés, n’est pas à prendre avec le dos de la cuillère, et les auteurs de ce constats en comprennent l’urgence drastique. En effet à Stockholm, dans ce camps de vaches qui aspirent à ressembler à des américains et dont les modèles sont la vie du trader américain,  le top artistique…savoir chanter proprement AS le chanteur de variété, jeme sens mal à l’aise de m’être trompé de porte. Il n’en va pas de même dans toute la Suède, bien sûre, et heureusement. Mais c’est l’idéal citadin, et « Nordiska Museet » qui est le garrant des tradition fait triste mine. Ainsi va t il aussi de la famille royale qui sous le regard consterné du roi voyant sa fille se marier avec un footballeur americain…affiche un sourrir commerciale de convenance.

En Suède ma frustration et ma souffrance est difficile à porter, et je continue à chercher le brin de « folie » qui ressemblerais à un objet artistique, que ce soit dans les expos, les musée, les concerts…. J’ai peut-être pas encore assez chercher.. ?…. Ici on aime pas les sensibles, les éccorchés, les contestataires. Chut taisez vous et pas de commentaires… Et surtout, ne parlons pas au voisin : Nous passerions pour des personnes déséquilibrés….

Et puis, j’apprend que la ministre de la culture est la ministre des sports aussi……dérrapage contrôlé ? sous pretexte de favoriser l’accès à la culture populaire, voilà que tout se transforme en sport. On préfère contenter la masse que l’éduquer. Et je pleure à qu’elle point

Aurions nous choisi d’être incultes pour mieux servir…

Finalement la Suède m’apparait comme comme une aire de loisir en plastique, une garderie où on essaye d’allier l’incompétence au marché du travail mal mené. C’est à dire qu’elle a bien perdu de sa superbe, elle a tout vendu jusqu’à son âme..J’ai le vertige…

 

Et cette France qui s’étouffe dans toute cette confusion, ses polémiques, telle une maniaque chronique du branlage de cervelle. Que cherche t’elle ? que veut elle prouver, défendre ? dans la pure hargne comportementale du roquet aux hemoroïdes ?  La manipulation bien sûre ….

Où est passé la confiance en l’intelligence du vrai progrès, celui de l’homme. En France Personne ne comprend plus rien, tous le monde confond tout, pour mieux désescalader vers la bêtise, et fermer les yeux sur ce qui peut arriver à n’importe qui : les campements dans la rue ou le métro, sans comprendre pourquoi d’un coups, on s’est retrouvé démuni de tout. Baiser les mains du premier despote venu pour mieux se faire Enc..Tout le monde à peur et s’accroche à un raisonnement qui ne dépasse pas sa porte, s’il en a une.

J’avais parié sur une ouverture en partant pour la Suède, un el dorado, une porte de secours, et me voilà en train de refaire mes sacs et valises. Je retournerais d’où je viens ? Paris ? ou la décadence bat les records des sociétés encore à la traine…Où la muselière pour les vraies grandes gueules est constament en service. Je veux dire celles qui dénoncent tout haut sans haine ni rancoeur.

Que me manquait il ? l’homme….(haha ha !)

Comme si, dans cette magnifique Suède je n’avais pas non plus trouvé la beauté, l’âme soeur, l’amitié, l’entourage oxygenant sinon la nature.. Et je me rend compte que cela semble encore plus difficile qu’à Paris. Serais je dépressive ? certainement. Et c’est apparemment un sport ici, alors qu’en France c’est un luxe interdit : Pas le temps….

Mon constat est effrayant, et je passe de la paroxetine à la sclérose en plaque……Facebook et mon telephone portable sont mes amis du quotidien, comme tous les citoyens ici à Stockholm.

Sarah S.

Sloye, Dirk, Marc les 50 autres

•juin 22, 2012 • Laissez un commentaire

Magnifique contrats. Celui qui me laissera le plus de souvenirs tant artistique qu’agréable.

De vraies répétitions, de vraies conditions de travail, une vraie mis en scène, et un Nicolas qui tient tout jusqu’au bout, intègre, et en qui on ne peut avoir que du respect.

Voilà un spectateur qui écrit:

Salut Nicolas

Te redire par ces quelques mots combien ton spectacle, votre spectacle « Rousseau à rebrousse-temps » m’a émerveillé : c’est vraiment un travail génial, et par-delà la reception esthétique, j’ai ri et j’ai été bouleversé -l’arrivée du GIGN cherchant Rousseau, plus vraie que nature, je me suis brièvement demandé ce qui se passait, d’autant qu’un des mecs du GIGN en hurlant « où il l’est Rousseau où il l’est? » a dit aussi « Salut Ludo ! »: c’était Gérard, j’ai été totalement tétanisé, puis ai éclaté de rire -l’ostinato du clavecin qui transforme la danse baroque en hip hop, sur Emile, l’apprentissage et la jeunesse, trop fort -les textes comme des tissus accrochés à la corde à linge par 3 Rousseau passant leur temps à s’engueuler, c’est hilarant : « va t’excuser, sinon il va encore nous pondre un bouquin » -le tableau sur La nouvelle Héloïse, avec les deux acrobates, et elle qui bras ballants meurt à la fin : l’amour comme vertige, approche aérienne des corps, tactilité en apesanteur, est un moment d’une grande beauté et d’une intense émotion, j’avais la gorge serrée -métaphoriser le contrat social par la danse, sur du jazz piano balais batterie, d’un cavalier et de son cheval, tous deux en interdépendance, aliénant leur liberté pour une loi commune, c’était d’une beauté à couper le souffle. Comme je l’ai dit briévèment à Bruno Boisliveau, je n’ai jamais vu quelque chose de semblable dans ma vie : plusieurs dizaines d’années de complicité entre lui et ce cheval, m’a-t-il répondu -le jardin sonore : canon ! -quant au final, il rompt le sort que vous nous aviez jeté, la fumée puait drôlement, ça boucle narrativement le spectacle et sensoriellement : comme avec la voiture de flics, on s’y croit! Bravo à toi, Nicolas, bravo à vous, et merci ! Ludovic

J’ajoute des photos enfin reussis de moi, prise par ma bienfaitrice Claire Bustarret:

Je voudrais remercier Nicolas pour ces moments pleins de sens et de beautés.

Sarah

« Sève » 18 mars!!!

•mars 6, 2012 • Laissez un commentaire

Non mais desfois! ce coups ci c’est la bonne:

et pour ceux que ça interresse On est passés à aligrefm.org/ mercredi 29 février à 9h 30

Sarah

Sève reporté

•février 12, 2012 • Laissez un commentaire

Ah oui! il fait froid dans un marché couvert découvert pour des p’tites choses comme nous.

Mais le création se porte bien, et on aura pas trop d’une semaine de rabb du 12 au 17 mars pour préparer le 18 à 11h.

Après nos ateliers avec les personnes agées et nos démélées avec les subventions qui se courent après, les Sylvies qui craquent, les Sarahs qui font de la parano, la Sandrine qui tombe malade et Jo aussi….Bon, on va y arriver.

En tout cas moi je le sens plutôt bien ce truc, j’ai mal à mon aluxvalgus comme on dit, mais à force d’avoir les pieds en momies… ça devait arriver.

Pour balançer en ce moment c’est la Cata. Murmur comme chaque hiver prétexte que le chauffage est en panne. Au bout de 5 minutes je suis congelée, et j’ai plus qu’à faire les salles de muscu, où y’a trop de monde qui se font trop mal en se défoulant autant verbalement que frénétiquenent accrochés aux machines.

Pour ceux qui ont toujours le temps de se faire du bien:Atelier 5 ELEMENTS-flyer5

Sarah